La tendance baissière de la rentrée de septembre s’accélère et se confirme. En octobre, les candidats à l’emprunt immobilier peuvent profiter de belles réductions. Recul des barèmes […]
Après 60 ans, il est tout à fait possible d’effectuer des travaux d’amélioration énergétique et de profiter de nombreux accompagnements.
Améliorer le confort thermique de son logement
Besoin de rénover son logement après 60 ans ? Il faut savoir qu’une rénovation énergétique présente de nombreux atouts, parmi lesquels :
- la valorisation de son logement ;
- un meilleur confort thermique ;
- des économies d’énergie.
Si le coût des travaux de rénovation est bien souvent élevé, sachez toutefois que des aides pour les séniors existent, et elles sont nombreuses. Qu’il s’agisse des fournisseurs d’énergie, des Caisses de retraite ou encore de la CAF, les accompagnements pour les plus de 60 ans, propriétaires comme locataires, permettent de réduire le montant des travaux à payer.
Il est néanmoins vivement recommandé de se renseigner sur les conditions d’éligibilité de ces aides avant de s’engager dans un projet de rénovation.
Les aides à la rénovation de l’État
Il faut savoir que les travaux de rénovation énergétique de sa résidence principale sont encouragés par l’État. À ce titre, les dépenses qui visent à l’amélioration énergétique de son logement bénéficient d’aides distribuées par l’Agence nationale de l’habitat (Anah). Comme MaPrimeRénov par exemple qui n’a pas de condition d’âge. Pour en savoir plus concernant leur obtention et leurs modalités, il suffit de s’adresser à un conseiller. Par ailleurs, la majorité des coups de pouce financiers nécessite :
- de faire une demande préalable de financement (avant signature de devis) ;
- d’avoir recours à une entreprise labellisée RGE (Reconnue garant de l’environnement).
Il est également possible de bénéficier d’une aide financière pour réaliser des travaux d’aménagement nécessaires pour un maintien à domicile. Cette aide « Habitat facile » est attribuée sous conditions de revenus et peut couvrir jusqu’à 50 % du montant des travaux hors taxe, plafonnée à 10 000 euros. Il peut s’agir notamment :
- de l’installation d’un monte-escalier ;
- du remplacement de la baignoire par une douche ;
- etc.
Primes CEE, Caisses d’assurance de retraite et CAF
De plus, les fournisseurs d’énergie proposent des primes CEE (certificats d’économies d’énergie) si vous décidez d’effectuer des travaux de rénovation énergétique. Les caisses de retraite peuvent aussi participer à la rénovation de votre logement occupé à titre principal comme des travaux d’isolation, de changement d’équipement, de chaudière, etc. N’hésitez pas à consulter directement votre caisse de retraite complémentaire pour vérifier les conditions d’éligibilité. Pour les foyers les plus précaires, la CAF met en place un Prêt à l’amélioration de l’habitat (PAH) à taux avantageux, sous condition de ressources. Enfin, n’oubliez pas qu’il est possible de compléter ces aides avec l’éco-prêt à taux zéro, un prêt travaux, voire un crédit immobilier.