L’embellie continue de s’installer sur le baromètre des taux qui n’en finissent plus de fondre ! Une bonne nouvelle pour les candidats qui souhaitent lancer leur projet d’achat […]
« Ces lieux sont d’une grande diversité: un loft industriel, un atelier sur cour, une maison d’architecte, un penthouse, un souplex, une grange réhabilitée, une péniche, un chalet contemporain, d’anciennes chambres de bonne mansardées, une école, une gare, un relais de poste…« , précise Julien Haussy, fondateur d’Espaces Atypiques.
Un « coup de foudre »
Mais le groupe propose également des biens à moins de 300.000 euros. Ils représentent même 24% de l’offre. Un bien atypique est donc loin de s’apparenter systématiquement à un bien de «luxe» avec le prix qui l’accompagne. Ils ne sont pas la chasse gardée d’étrangers à la recherche d’un pied à terre dans la capitale pour s’offrir de grands espaces. Cette clientèle-là recherche davantage des biens classiques et typiques (haussmanniens, mas, maisons en pierre…). Les acheteurs sont donc essentiellement des français (94%).
Ces amoureux de l’insolite
Sans tomber dans le cliché des lofts avec une seule chambre ou sans chambre, peu de biens comportent plus de 3 chambres (25%). En toute logique, la moyenne d’âge des acquéreurs est de 42 ans, 61% sont situés entre 30 et 50 ans. Ce qui est passablement jeune, sachant que 3 clients sur 10 sont… célibataires (27%) et ne peuvent donc compter que sur leur propre apport. « Le pool d’acquéreurs est composé d’une majorité écrasante (48%) de professions intellectuelles supérieures et de cadres« , précise l’étude. Seul un quart des acquéreurs sont des primo-accédants… une donnée à relier avec le budget moyen élevé de 560.000 euros.