L’embellie continue de s’installer sur le baromètre des taux qui n’en finissent plus de fondre ! Une bonne nouvelle pour les candidats qui souhaitent lancer leur projet d’achat […]
Outre le fait qu’elle évite de payer des indemnités de remboursement anticipé, cette option permet de conserver le taux obtenu au départ pour l’acquisition d’une nouvelle résidence principale. De quoi réaliser théoriquement de belles économies lorsque les taux repartent à la hausse.
Négocier, obtenir et intégrer cette disposition devenait particulièrement pertinent à l’heure actuelle pour tous ceux qui pensent à la revente d’ici quelques années pas avant. Rien ne dit pourtant que les banques continueront à l’accorder à l’avenir.
Actuellement défavorable aux banques
Particulièrement avantageuse pour un emprunteur lorsque les taux sont attractifs comme ils le sont actuellement, même si elle a nécessairement un coût en termes de conditions de financement, la transférabilité de prêt peut, en revanche, vite devenir coûteuse pour un établissement bancaire. En conséquence de quoi, les banques sont devenues prudentes. Elles ne souhaitent plus s’engager à maintenir un taux de crédit très avantageux sur une future acquisition qui interviendra dans 7 à 10 ans, alors que les prochains taux d’intérêts ont toutes les chances de revenir à la hausse.
Des conditions d’application précises
En général, la vente et l’acquisition du nouveau bien doivent se faire dans un délai précisé par la banque (souvent inférieur à 6 mois mais en cas de relais, cela peut aller jusqu’à 1 an). L’achat doit être pour le même usage que le bien vendu (vente de la résidence principale et rachat de la résidence principale). La valeur du nouveau bien doit être supérieure au capital restant dû à transférer. De préférence, il ne doit pas y avoir eu d’incidents de paiement sur le prêt. Enfin, l’organisme de caution, le cas échéant, doit accepter le transfert.