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Lors des deux premiers confinements, le manque d’espace à vivre des logements parisiens s’est fait ressentir, particulièrement chez les personnes vivant dans Paris même. Afin d’améliorer sa qualité de vie et gagner quelques mètres carrés, un cadre sur deux, d’après une étude de Cadremploi, envisage de quitter la capitale.
La ville lumière ne brille que sur certains
Les touristes l’adorent, les habitants, peut-être un peu moins. C’est particulièrement le cas des suites des confinements en 2020, qui a pesé sur le moral des parisiens intra-muros.
Logements exiguës, surfaces limitées et mètre carré onéreux, voilà un cocktail qui fait réfléchir nombre de cadres parisiens à quitter la capitale. Ceux-ci semblent privilégier les nombreuses villes moyennes prisées, comme Lyon ou Lille.
Qu’il s’agisse de trouver un nouveau poste ou de simplement profiter des mesures de télétravail, la question de la mobilité se trouve au cœur des préoccupations des cadres en cette rentrée 2021-2022. Cette huitième édition de l’étude Cadremploi met ainsi en avant un désir de mobilité accru, de prioriser l’équilibre et la qualité de vie, afin de pallier une année forte en tensions et sources de stress.
Bien que ces décisions répondent à un contexte précis, disposer d’une propriété en région permet également de diversifier son patrimoine, rien n’empêche par ailleurs de conserver un pied à terre parisien en cas de nécessité.
Toutes ces raisons amènent une réflexion poussée sur la mobilité et sur les conditions de vie et de travail post-pandémie, façonnée par une année très particulière.
Le confinement: une allumette dans la poudrière
Qu’il s’agisse du coût de la vie, du temps et des conditions de transport, ou d’un stress général, un cadre considère qu’il peut être envisagé de vivre à l’écart de la ville la mieux desservie de France.
Cette réflexion prend un sens particulier du fait des confinements successifs. De nombreux avantages se dessinent alors, puisqu’il est dorénavant visible que de nombreuses villes moyennes, en plus de proposer un cadre de vie de qualité et une accessibilité aux services urbains similaires à ceux disponibles en région parisienne, font également état d’un prix du mètre carré moins élevé qu’en région parisienne.
Il peut d’ailleurs être intéressant de faire preuve de mobilité pour accéder à des emploi ou des sociétés qui ne l’étaient pas forcément auparavant. Ce changement d’état d’esprit peut aussi constituer un moyen de s’ouvrir à de nouveaux bassins d’emploi.