Faites briller les yeux des enfants grâce à vos jouets ! À l’occasion des fêtes de fin d’année, Ace crédit organise à nouveau une collecte solidaire dans […]
L’ancien augmente au troisième trimestre 2022 sur un an, selon l’indice Notaires-Insee de référence. La hausse des prix des logements est particulièrement forte sur le segment des maisons.
L’immobilier ancien résiste
Si la hausse des prix est plus terne depuis quelques mois, les prix de l’immobilier ancien ont maintenu une bonne dynamique. Comme en témoigne l’indice Notaires-Insee de référence, les prix sont en hausse sur un an de 6,4 % au troisième trimestre 2022. Une hausse qui reflue légèrement tout en restant à des niveaux positifs alors que les indicateurs ne sont plus au vert en 2022. Preuve que le marché immobilier est très résistant, souligne Thierry Delesalle, président de la commission statistique des Notaires du Grand Paris. Pour rappel, l’augmentation s’élevait à 7,3 % au premier trimestre et à 6,8 % au deuxième.
Les maisons augmentent deux fois plus vite que les appartements
Les maisons se renchérissent beaucoup plus vite que les appartements. Une tendance qui s’observe depuis 2020 et qui s’accélère. Ainsi, selon les données des notaires qui s’appuient sur les ventes définitives, les prix des maisons ont augmenté de 8,2 % au troisième trimestre contre 4,1 % pour les appartements. À noter que cette progression des prix dans l’ancien suit la courbe des transactions. Cette dernière après avoir atteint un niveau record au 3e trimestre 2021 (avec plus de 1,2 million de ventes conclues) marque le pas. Avec un nombre de ventes qui totalise 1,13 million, le marché garde sa vigueur, en restant à un niveau toujours élevé.
Des évolutions de prix disparates pour les appartements
Les prix des appartements évoluent différemment selon les régions. Dans les trois plus grandes villes du pays, on constate ainsi :
- un recul des prix qui se creuse à Paris (-1,2 %) ;
- une envolée à Marseille (+10,8 %) ;
- une légère progression à Lyon (+1,9 %).
Plus largement, en Île-de-France, une des régions les plus chères de France métropolitaine, la progression des prix est nettement moins forte que dans le reste de l’Hexagone (2 % contre 8,1 %). À noter que les chiffres des notaires basées sur les ventes restent en décalage avec le marché. L’impact de l’inflation, de la baisse du pouvoir d’achat et des difficultés d’accès au crédit n’est donc pas totalement intégré. Comme le souligne Me Delesalle, la réforme annoncée des retraites dans les prochains mois pourrait ramener des Français vers l’investissement locatif. En effet, cette opération permet à un investisseur de générer un complément de revenus et de se constituer un patrimoine. Pour un projet d’investissement réussi, l’accompagnement d’un expert est conseillé. Un courtier en crédit est la solution pour établir un plan de financement sur mesure, obtenir les meilleures conditions et négocier un crédit à un taux avantageux !