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On y recharge les batteries dans des paysages d’exception, et on se verrait y revenir régulièrement pour s’accorder des parenthèses à l’air pur. Mais peut-on ressortir gagnant d’un investissement immobilier à la montagne ? La rentabilité est au rendez-vous pour peu que la station attire les foules en toutes saisons… Et un pied à terre en altitude offre davantage que des revenus locatifs.
1. Concilier placement et loisirs
Faire l’acquisition d’un chalet ou d’un appartement dans une résidence à la montagne est un investissement plaisir. Il permet d’étoffer son patrimoine avec un bien situé dans un secteur attractif, mais aussi d’en profiter comme d’une résidence secondaire pour des séjours au ski en hiver et au grand air le reste de l’année. Dans cette optique, ce n’est pas la rentabilité de l’investissement locatif qui prime. Néanmoins, la location saisonnière va couvrir en partie les frais d’acquisition et d’entretien du bien, qui constituera à moyen et long terme un actif immobilier qui aura gagné de la valeur. Dans les Alpes du Nord, les prix ont progressé de 5,6% sur an d’après MeilleursAgents !
2. Une attractivité tout au long de l’année
Si moins de 10% des Français partent aux sports d’hiver chaque année d’après le Credoc, l’Observatoire national des stations de montagne a relevé un taux moyen d’occupation de 88% lors de la dernière saison entre résidences de tourisme et hôtels. En parallèle, près de trois Français sur dix confient préférer passer leurs vacances d’été à la montagne dans une enquête OpinionWay, notamment chez les moins de 35 ans (plus d’un sur trois) séduits par les activités en plein air. Et la moitié des répondants privilégie la location de chalet, maison ou appartement, ce qui conforte les perspectives d’un investissement locatif en station de ski.
3. La défiscalisation des recettes locatives
Investir en résidence de tourisme n’est certes plus éligible au dispositif Censi-Bouvard depuis 2017, mais il est toujours possible de défiscaliser la moitié des loyers avec le statut de loueur en meublé non professionnel en régime micro-BIC. Cet avantage fiscal est plafonné à des recettes ne dépassant pas 70 000€. Et l’abattement peut même atteindre 71% des revenus locatifs pour les biens situés en résidence de tourisme classée ou les chambres d’hôtes, pas des recettes plafonnées à 170 000€ ! À titre de comparaison, l’abattement du régime micro-BIC se limite à 30% pour une location vide.
4. Des biens et des stations pour tous les budgets
Il n’y a pas un marché immobilier de la montagne mais des marchés. Les tarifs varient selon la nature du logement (chalet, appartement), sa proximité avec les remontées mécaniques mais aussi et surtout en fonction du massif dans lequel il se situe. Les Alpes du Nord, le massif le plus élevé en altitude avec Val Thorens, Les Deux Alpes, ou Serre-Chevalier Arc, affiche un prix moyen au mètre carré en conséquence (près de 4900€ d’après MeilleursAgents). Près du double que dans les Alpes du Sud et le Jura où ils se situent à 2500€/m² environ. Le Massif Central, les Vosges et les Pyrénées se tiennent quant à eux autour de 2000€/m². Cette diversité donne à chaque profil d’investisseur des opportunités de mener son projet patrimonial à la montagne !