Le moment pour acheter ? La baisse des taux immobiliers amorcée depuis plusieurs semaines se poursuit en novembre. Une excellente nouvelle pour les candidats à l’emprunt immobilier qui […]
La location à courte durée a souffert pendant la crise sanitaire. Pourtant, investir dans l’immobilier saisonnier reste une opération rentable lorsque la Covid-19 ne vient pas jouer les trouble-fêtes. Voici quatre raisons de ne pas y renoncer.
1. Une majorité de Français a hâte de repartir en vacances
Selon une étude du site de location Amivac, 91% des Français veulent voyager en 2021. Après une année de restrictions de déplacements, ils comptent donc se rattraper ! D’ailleurs, la moitié de ces futurs touristes escomptent un budget plus important, du fait des économies réalisées l’an passé. Rappelons que 26% des Français n’ont pas pu prendre de congés en 2020.
Autre indicateur favorable : les Français veulent profiter du pays. Une majorité est restée dans l’Hexagone l’année dernière (51%). Les conditions sanitaires ont forcément influé sur cette décision. Mais 20% d’entre eux ont souhaité soutenir l’économie locale par ce geste.
2. La location saisonnière, c’est rentable
En général, les locations saisonnières atteignent rapidement la rentabilité et ce pour plusieurs raisons :
- les risques d’impayés frôlent le néant. Les clients règlent intégralement avant d’entrer dans le logement ;
- les revenus sont plus élevés. Les montants encaissés peuvent doubler, voire tripler en comparaison à une location classique ;
- les dégradations sont moindres, et par conséquent, les travaux de rénovation également. La plupart des locataires ne se servent de la résidence que pour se restaurer et dormir ;
- selon l’emplacement du bien, le taux d’occupation frise les 100% à l’année, particulièrement dans les grandes villes, en bords de mer ou à la montagne.
3. Le bon levier pour couvrir les frais de sa résidence secondaire
Le coût d’une résidence secondaire se calcule au-delà de son prix d’acquisition. L’entretien et la fiscalité engendrent une dépense annuelle qui représente en moyenne 2 à 3% de la valeur du bien. La rendre disponible à la réservation est donc une solution pour couvrir ces frais annuels. Le propriétaire n’a pas forcément besoin de la louer à l’année : quelques semaines peuvent suffire. Cela lui laisse toute la latitude pour profiter de son bien le reste du temps !
4. Les taux du crédit immobilier sont au plus bas
Si la crise sanitaire perdure, les taux bas du crédit immobilier aussi. L’Observatoire Crédit Logement/CSA relève en moyenne un taux moyen de 1,10% sur 20 ans, et les meilleurs dossiers peuvent même emprunter sous les 1%. Rappelons aussi que les conditions d’octroi de prêt sont assouplies depuis le 1er janvier 2021 : le taux d’endettement maximum est notamment passé à 35% (assurance emprunteur comprise).