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Face à la densification, un récent sondage montre l’attrait des Français pour une maison individuelle plus petite et plus écologique.
L’avenir de la construction individuelle
La maison individuelle doit tenir compte des craintes liées à l’artificialisation des sols. Le bon compromis consiste à poursuivre la construction, mais sur des parcelles sensiblement plus petites. Aujourd’hui, la parcelle moyenne va de 450 m2 à 500 m2 en France et atteint 900 m2 si l’on considère la construction en secteur diffus (hors habitats individuels groupés et lotissements). Construire des maisons avec des densités et des ratios proches de l’habitat collectif est tout à fait envisageable et serait même souhaité par une majorité de Français, selon la Fédération française des constructeurs de maisons individuelles (FFC).
Les Français plébiscitent les maisons
En effet, plus de 8 Français sur 10 privilégient une vie en maison individuelle selon un récent sondage de la FFC. Ils sont seulement 20 % à préférer vivre en appartement. Selon cette même étude, 52 % des sondés ont le sentiment que vivre en maison a un impact sur la biodiversité et l’environnement. Seulement 14 % d’entre eux y voient des effets négatifs. Par ailleurs, ce sondage montre également que 71 % des Français sont prêts à réduire la surface de leur terrain pour vivre dans une maison. De plus, ils sont une majorité à estimer que les pouvoirs publics doivent inciter à la construction de maisons individuelles sur des parcelles plus petites.
La densification pour limiter l’étalement urbain
Les Français sont prêts à faire des concessions pour limiter l’étalement urbain, ils affirment ainsi à 71 % pouvoir accepter la construction d’un logement voisin à proximité. Dans le cas d’une maison individuelle, ils sont prêts à l’accepter à 65 %, contre seulement 20 % pour un immeuble. « Les Français sont plus prêts à la densification de l’habitat individuel que leurs élus », indique Damien Hereng, président de la FFC. Pour rappel, les évolutions des Plans locaux d’Urbanisme (PLU) freinent la densification à l’inverse de la loi Alur. En conséquence, les élus agrandissent les distances entre deux constructions et ont tendance à refuser les bonus de constructibilité.
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