Le moment pour acheter ? La baisse des taux immobiliers amorcée depuis plusieurs semaines se poursuit en novembre. Une excellente nouvelle pour les candidats à l’emprunt immobilier qui […]
Malgré cette moyenne parisienne légèrement au-dessus de 10 000 € le m², le nombre de candidats à la propriété intra-muros ne faiblit pas avec un ratio de l’ordre de 12 acheteurs pour dix vendeurs.
Plus d’acheteurs que de vendeurs
La hausse modérée des revenus combinée à la baisse des taux d’emprunt durant cette même période a en effet généré un gain important de pouvoir d’achat pour les candidats à la propriété dans la capitale. Celui-ci est par ailleurs d’autant plus élevé que la durée des prêts bancaires s’est parallèlement allongée (229 mois en moyenne d’après l’Observatoire Crédit Logement/ CSA). Conséquence, contrairement aux idées reçues, la capacité financière des parisiens a donc augmenté davantage que les tarifs de la pierre entre 2015 et 2019.
Pas de bulle spéculative à Paris
Les mêmes causes générant les mêmes effets… Après une pause liée à la rentrée traditionnellement moins dynamique, les prix sont repartis à la hausse dans la quasi-totalité des dix plus grandes métropoles françaises (+1% à Marseille, +0,9% à Montpellier et Lille, +0,7% à Lyon et Nantes, +0,6% à Bordeaux…). Là aussi, des niveaux de pouvoir d’achat particulièrement conséquents dans ces différentes communes grâce à des taux de crédits toujours aussi bas expliquent ce regain de dynamisme.