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Selon les données des notaires, 985 000 transactions immobilières ont été enregistrées dans l’ancien sur un an fin mars. Les prix reflètent cet engouement.
Des ventes record
La politique très accommodante de la Banque centrale européenne (BCE) en avril a permis aux taux de rester à des niveaux plancher sur toutes les durées : 1,09% sur 15 ans, 1,27% sur 20 ans et 1,49% sur 25 ans en moyenne, selon les données de l’observatoire Crédit Logement/CSA. Mai devrait confirmer cette tendance. Cette situation rend solvables les futurs acquéreurs et autorise ceux qui étaient auparavant sortis du marché de l’accession de s’y projeter à nouveau.
Des hausses de prix moins fortes
La situation géographique et le bassin d’emplois sont toutefois déterminants. La corrélation entre la vigueur du marché immobilier et l’évolution du marché du travail se vérifie : les écarts continuent de se creuser entre les secteurs très recherchés parce que très dynamiques au niveau de l’emploi et les autres. Plus on s’éloigne des zones économiques, et plus la situation devient compliquée au niveau de l’ancien. La fracture entre deux France s’affirme un peu plus sur un marché qui ne reste dynamique que dans les zones économiquement fortes.
Conséquence : bien que trop souvent annoncés comme en forte hausse, les prix du marché national demeurent généralement stables et proches de l’inflation, à l’exception notable de l’Île-de-France et de quatre métropoles régionales très dynamiques (Nantes, Rennes, Lyon et Bordeaux). Ce qui laisse à penser un mouvement de stabilisation des prix et, par conséquent, un assagissement du marché en 2019.