L’embellie continue de s’installer sur le baromètre des taux qui n’en finissent plus de fondre ! Une bonne nouvelle pour les candidats qui souhaitent lancer leur projet d’achat […]
Après l’année 2016, exceptionnelle par le nombre de crédits immobiliers accordés et le volume de transactions immobilières effectuées en partie grâce à la forte demande des primo-accédants, très actifs avec la baisse des taux d’intérêt, les indicateurs devraient rester au vert pour 2017.
Acquéreurs et vendeurs vont encore bénéficier de belles opportunités sur un marché porteur et toujours favorable aux primo-accédants, surtout si la hausse des prix et des taux d’intérêt reste limitée et raisonnable.
Acheter en début d’année, oui !
Tout semble indiquer que le marché immobilier devrait être en croissance ces premiers mois de 2017. Les futurs acheteurs qui finalisent actuellement leur projet immobilier savent qu’ils peuvent encore profiter ce début d’année de taux d’intérêt attractifs, qui, même si la tendance est à la hausse, restent encore à des niveaux historiquement bas. La crainte de voir ces taux remonter devrait même plutôt inciter les acquéreurs les plus attentistes à finaliser rapidement une transaction.
Et dans le neuf, le maintien du Prêt à taux zéro (PTZ) en 2017 contribuera aussi à faciliter l’accession à la propriété. Rappelons qu’en 2016, un quart des emprunteurs ont bénéficié d’un PTZ pour un montant moyen de 67 000 €.
Une hausse mesurée, des taux encore attractifs
Des hausses – limitées pour l’instant – de prix de vente dans l’ancien comme pour les programmes neufs ont déjà été constatées au niveau national. En 2016, les prix ont augmenté de 1,4 % pour les appartements anciens et de 2 % pour les maisons, d’après une étude publiée mi-décembre par les Notaires de France. Ce phénomène de rattrapage après trois ans d’attentisme reste d’actualité début 2017.
Tout au long de l’année 2016, les taux des crédits immobiliers (divisés par trois depuis 2012, passant de 4,5 % à 1,5 % en moyenne) ont dopé les capacités financières des Français. Cette augmentation du pouvoir d’achat correspond peu ou prou à l’équivalent d’une pièce de plus, en moyenne, par bien. En 2017, une remontée des taux de crédit de 0,5 point est tout à fait envisageable, soit un surcoût d’une vingtaine d’euros par mois pour un emprunt de 100 000 euros sur 20 ans.
Néanmoins, le crédit immobilier est toujours plus que jamais le principal produit d’appel des banques pour gagner de nouveaux clients qu’elles souhaitent fidéliser via des produits d’épargne. Les bons dossiers (jeunes couples, primo-accédants, avec des revenus annuels supérieurs à 60 000 euros par an) obtiendront toujours, surtout en passant par un courtier en crédit immobilier comme acecredit.fr, spécialiste de la négociation, des rabais plus importants par rapport aux taux affichés par les banques.